Cette année, Comptoir des Voyages a proposé d’accompagner le travail de l’association Maasaï Horizon. Cette association œuvre pour le peuple Maasaï, un peuple connu mondialement pour sa culture, mais qui ne perçoit que peu les retombées du tourisme et vit souvent dans des conditions précaires.
Nous tenions à vous présenter Cynthia, la marraine de ce travail, afin qu’elle vous fasse découvrir à travers une interview ce projet qu’elle a proposé et défendu ainsi que l’engagement de Comptoir des voyages…
Bonjour Cynthia, peux-tu te présenter en quelques mots ?
J’ai 38 ans et je vis à Lyon. Je travaille depuis six ans chez Comptoir des Voyages en tant que conseillère spécialiste sur l’Afrique et les Iles de l’Océan Indien.
Peux- tu présenter l’association Maasaï Horizon ?
Maasaï Horizon, présidée par Chantal Deschamps est une association pour venir en aide à un village Maasaï au Kenya, le village d’Olgirra.
Cette association créée en 2012, est née d’une complicité entre Chantal et Lekatoo, un guide Maasaï, qu’elle a rencontré lors de son premier voyage au Kenya.
Le but de cette association est de promouvoir l’éducation pour les enfants et de résoudre des problèmes liés à la santé en réalisant des parrainages et surtout en construisant un puits pour le village et un dispensaire pour permettre aux habitants de se soigner dignement.
Quel intérêt portes-tu personnellement à cette association ?
Le Kenya est un pays que j’affectionne particulièrement. Lorsque j’ai rencontré Chantal, j’ai senti son attachement au village et son envie de faire au mieux pour les habitants. Elle m’a exposé son projet, tout était précis et bien ficelé et j’ai trouvé que l’association cadrait parfaitement à la fondation Insolites Bâtisseurs. J’ai eu envie de la défendre car le Kenya souffre aujourd’hui, plus que jamais.
Quel est l’engagement de Comptoir des Voyages vis-à-vis de Maasaï Horizon ?
Comptoir des Voyages, par le biais de la fondation Insolites Bâtisseurs, s’est engagé sur 3 ans à aider le financement de l’aménagement d’un dispensaire et autres dépenses, qui permettront notamment de diminuer le taux de mortalité infantile et de suivre les personnes atteintes du VIH.
De plus, Chantal, n’étant jamais à cours d’idées, souhaiterait organiser des formations concernant le droit des femmes et aider au mieux à la scolarité des enfants.
Si tu devais te lancer dans un nouveau projet tel que celui-ci, avec quel type d’association aimerais-tu retravailler ?
Je pense que j’aimerais m’engager avec une association toujours présente en Afrique mais plus tournée vers les enfants (parrainage, adoption…)
Nous aurons le plaisir de vous présenter l’évolution de ce projet dans un prochain article !